Le 27 septembre, il y a exactement quatre ans, commençait la Seconde Guerre du Karabakh entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, qui durait 44 jours. Le conflit de longue durée qui a éclaté entre les parties à la fin des années 80, à la suite du début de la politique d’occupation de l’Arménie contre l’Azerbaïdjan, a pris fin. L’Azerbaïdjan a restauré son intégrité territoriale en restituant le Karabakh et sept régions adjacentes sous son contrôle.
Aujourd’hui, l’Azerbaïdjan honore la mémoire de ceux qui ont donné leur vie pour restaurer l’intégrité territoriale du pays.
Le 27 septembre est déclaré Journée de commémoration en Azerbaïdjan en signe de respect pour les militaires qui ont combattu héroïquement pendant la Seconde Guerre du Karabakh.
Les unités des forces armées arméniennes stationnées dans les terres occupées de l’Azerbaïdjan ont commencé un nouveau bombardement à grande échelle des positions de l’armée azerbaïdjanaise et des colonies de première ligne dans la matinée du 27 septembre 2020. Sur ordre du président Ilham Aliyev, l’armée azerbaïdjanaise a lancé une contre-offensive sur tout le périmètre du front.
En général, en 44 jours, l’armée azerbaïdjanaise a libéré de l’occupation arménienne 5 villes, 4 petites villes, 286 petites villages et un grand nombre des hauteurs stratégiques.
L’Arménie, après avoir reconnu sa défaite, a signé un acte de capitulation, selon lequel elle s’est engagée à libérer les territoires occupés des régions d’Aghdam, Lachin et Kelbajar en Azerbaïdjan.
En accord avec la déclaration tripartite signée dans la nuit du 9 au 10 novembre 2020 par les présidents russe et azerbaïdjanais Vladimir Poutine et Ilham Aliyev, ainsi que par le Premier ministre arménien Nikol Pashinyan, l’armée arménienne a été retirée des zones susmentionnées.
Après la fin des hostilités, le gouvernement azerbaïdjanais a lancé un programme à grande échelle pour restaurer les territoires désoccupés. Le programme, appelé « Grand Retour », a été lancé par le président Ilham Aliyev et prévoit le retour progressif de centaines de milliers de personnes déplacées dans leur pays d’origine.